Fille de Laurent Garnier et de Perpétue Bourgoin, elle fût baptisée le 23 octobre 1707 à Vierzon (Cher), et comme le veut la tradition, elle porte le nom de sa marraine, à savoir Marie Mouilleron.
Archives départementales du Cher - page 312
Vierzon 1702 1713 3E351
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Elle a eu, de ce premier mariage, au moins 5 enfants:
- Jeanne, née le 13 mai 1723 à Méry,
- Antoine, né le 12 décembre 1724 à Méry (marié le 6/7/1751 avec Marie Pertui à Theillay),
- Claude, né le 22 mars 1727 à Méry (marié le 1/07/1749 avec Marie Anne Leclerc à Selles-St-Denis),
- Marguerite, né le 17 août 1729 à Vierzon avec l'aide d'une matrone (décédée le 25 septembre 1729),
- Laurent, né le 28 mars 1731 à Méry (marié en 1751 avec Marie Métivier à Selles-St-Denis)
Grâce au site de dépouillement "Généalogie en Berry", j'ai découvert que Pierre bardou est décédé à Méry le 3 avril 1733.
Ce n'est qu'en 1737 que Marie se remariera avec Silvain BRILLANT à Theillay (41), plus exactement le 29 janvier 1737.
Culture41 pages 3 et 4 THEILLAY (Commune de). - 4 E 256/20 - Registre paroissial. Baptêmes, mariages, sépultures 1737 - 1737 |
Avec Silvain, Marie aura 3 enfants:
- mon aïeule Perpétue, née à Theillay le 5 février 1738,
- Sylvain, né le 28 juillet 1740,
- et Catherine, née le 7 septembre 1743 (mariée à Silvain Blanchard en 1765 à Selles-St-Denis)
Le 20 juillet 1747, Sylvain BRIAN décèdera à Theillay à l'âge de 60 ans.
Le 3 mai 1751, elle épouse à Selles-Saint-Denis Jean METIVIER, également veuf.
Culture41 page 58/65 SELLES-SAINT-DENIS (Commune de). - 4 E 241/26 - Registre paroissial. Baptêmes, mariages, sépultures (1750-août 1751) 1750 - 1751 |
A l'âge de 76 ans, Marie GARNIER serait décédée le 23 mai 1767 à Theillay (information à confirmer).
Bref, une vie bien remplie, avec 3 maris et au moins 8 enfants.
J'ai aussi vu cela quelquefois dans mes ancêtres vosgiens : des mariages le même jour entre un père et un de ses enfants. Probablement pour ne faire venir les invités qu'une seule fois, et donc ne payer la noce qu'une seule fois ... mais à vérifier !
RépondreSupprimerJ'ai aussi vu cela quelquefois dans mes ancêtres vosgiens : des mariages le même jour entre un père et un de ses enfants. Probablement pour ne faire venir les invités qu'une seule fois, et donc ne payer la noce qu'une seule fois ... mais à vérifier !
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